Bûche de Noël à la crème de marrons

J'ai récidivé. Comme tous les ans ! A Noël, il faut une bûche de Noël, logique, jusque là, ça va. Sauf que quand quelqu'un de la famille n'aime pas le chocolat (!) et trouve "mof" la crème de marrons, alors que le reste de la famille adore ... ça force à faire deux bûches. Pas le choix. Cette année j'ai donc fait une bûche classique à la crème de marrons, et une autre chocolat blanc-framboise. Malheureusement, cette dernière n'était pas, comment dire ... joli. Elle était moche, voilà, je l'ai dit. Donc elle est passée dans nos estomacs sans passer par l'étape shooting photo (et elle était super bonne quand même).

Cette recette ici vient de cette recette-la que j'avais déjà utilisée dans le passé. Elle diffère de la plupart des bûches aux marrons par la crème qui, au lieu d'être typiquement beurre-crème de marron, contient aussi du mascarpone. Et c'est magique ! :) La bûche en devient un peu plus légère (... relativement parlant) et a plus de goût. Alors bien sûr, je ne peux pas me contenter de suivre une recette, et je l'ai un peu changée. Déjà, j'ai doublée les quantités pour la crême, parce que je l'utilise aussi sur le dessus de la bûche (je ne fais donc pas de glaçage au sucre). Et puis parce que ça se mange à la petite cuillère ce truc ! =D Bref. J'ai aussi diminué un peu la proportion de mascarpone pour mettre plus de crème de marron. Et j'ai mis un peu de rhum vanille dans le tout parce, franchement, qui peut dire non à du rhum vanille ?

Je mets aussi des brisures de marrons glacés au milieu de la bûche, en étalant la crème : ça ajoute un peu de croquant (et encore plus de sucre, heuuu ...). J'ai décoré le dessus avec de la crème de marron et des demi marrons glacés, du sucre glace, et des perles de sucre. Voilà ! 

Bon appétit !

Marronier (de Christophe Felder)

Avec un peu (énormément ?!!) de retard, les recettes de Noël arrivent ... J'en avais profité pour utiliser les recettes du magnifique livre de Christophe Felder : La Bible de la Pâtisserie (que j'ai eu dédicacé par Christophe Felder lui-même ! =D) Toutes les recettes ont l'air magiques ... Comme d'habitude, à  Noël, il y a des exigences pour les desserts : il faut qu'il y ait de la crême de marron (sinon, ce n'est pas Noël), du chocolat pour ceux qui adorent et du pas chocolat pour ceux qui n'aiment pas (si, si, ça existe ...). Cette année, j'ai concilié tout ça en réalisant deux gâteaux du livre : ce marronier, et la bûche mont-blanc.

Je ne vous remets pas la recette ici, vous pouvez la trouver ici par exemple (ou en achetant le livre : il est vraiment superbe, ça vaut le coup). Ce gâteau a été vraiment très apprécié par les gloutons de la famille. J'ai respecté les dimensions et je me suis retrouvée finalement avec deux gâteaux de 20*30 cm (et non pas un de 40*30, mon rectangle à patisser n'était pas extansible :-p). Sur le dessus, j'ai rapé du chocolat au lait milka, parce que c'est bon. =D

On sent le goût de la crème de marron, et celui du rhum, et c'est léger... Attention juste au démoulage et au transport, qui peuvent être délicats. Sinon, super recette !

Miam ! =D

Bûche de Noël à la crème de marron

Forcément, pas de Nöel sans bûche de Noël ! Et pour moi, pas de bûche de Noël sans marrons !
Cette année, j'ai troquée la crème au beurre contre une crème au mascarpone, ce sera peut-être un poil plus léger (même si le cream cheese, c'est loin d'être léger). Je n'invente pas la recette, je la pique gentiment d'ici. Vu que je l'ai à peu près suivie à la lettre (pour une fois), je ne vous indique que ce que je trouve nécessaire :

- Je fais toujours un peu plus de crème qu'il ne faut, parce qu'il vaut mieux ne pas en manquer, et ... parce que c'est bon. :) Et je mets un peu plus de crème de marron, pour que ça aie assez de goût. En fait, faites le au goût !
- Pour la crème, battez le beurre (au robot) avant d'y ajouter le sucre, puis le mascarpone. Si vous ne le faites pas, la crème sera pleine de grumeaux (c'est toujours bon, mais beaucoup moins sexy).
- Enrobez votre buche après l'avoir remplie de crème et roulée de film transparent pour éviter qu'elle ne déborde (l'étape du roulage peut ressembler à un champ de bataille de crème, il faut juste essayer de limiter la casse).
- Laissez bien reposer au frais votre bûche toute emmaillotée avant de la glacer, elle aura le temps de se durcir un peu.
- J'ai recouvert d'une couche de crème après le glaçage au citron car c'était translucide et ça ne rendait pas très bien ...
- Décorez votre bûche avec tout ce qui vous tombe sous la main : des petits décors en plastiques, ou bien de la pâte d'amande colorée et façonnée, des traits à la fourchette dans la crème pour imiter le bois, etc...

Bûche de noël et pain au seigle

Pas de recette, juste quelques photos pour le début. Mon appareil photo n'est pas très extraordinaire, enfin, il faut dire qu'il a subi quelques traitements ingrats (oui, un peu bêtement aussi, mais, je croyais qu'il était waterproof !). Et puis, il faudra que je prenne le coup de main pour faire des photos d'artistes.

Bûche de Noël marrons-rhum

On commence par la bûche de Noël, traditionnel gâteau roulé et punché au sirop au rhum, fourré et recouvert avec une crème (très légère !) beurre / crème de marrons et rhum, et le tout avec pleins de petites brisures de marrons glacés. Et sur le dessus, du chocolat blanc rapé !




Un pain que j'ai réalisé pour le Nouvel An, inspiré par cette recette du pain au seigle Levy's sur le merveilleux blog Le Pétrin ... Si je me souviens bien, j'ai mis plus de farine de seigle (presque les 2 tiers je crois). Je n'avais pas de graine de carvi ni de semoule de maïs. Au final, il ne ressemble pas vraiment au modèle original, il fait plus pain de campagne (je l'ai parsemé d'un mélange de graines pour boulanger), plutôt dense, mais i a été très apprécié ! Coupé en tranches dans la corbeille à pain, à côté du pain de la boulangerie, je ne vous dis pas lequel a été le plus vite fini. (Si, je vous le dis : le mien ! Hi hi !)




(Hmm, c'est si joli, le pain doré ... Je me rappelle l'odeur !)

A suivre, ma tentative de Paris-Brest et mes chouquettes (le premier fut un cuisant échec esthétique, mais le goût y était !).